Que ce n’est ça ni ci. »

Publié le par richard.giraud

Que ce n’est ça ni ci. »
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Que ce n’est ça ni ci. »

O MON AME

SORS, DIEU ENTRE!

Sombre tout mon être n'est autre

en Dieu qui est non-être

sombre en se fleuve sans fond!

Si je te fuis!

Tu viens a moi

Si je me perds,

Toi ,je Te trouve,

O BIEN SURESSENTIEL!

A vrai dire, c'est l'ensemble de ce texte qui CONVERGE et S'ABIME dans cette IMAGE qui est la négation de toute image : ce "merveilleux désert "n'est autre que DIEU lui-même dans l'éternité de son être et son "empreinte" ou sa "trace" dans la figure du temps est le lieu où
il convoque
et
rencontre
l'homme destiné d'emblée à cette nudité des origines.

c'est dans cette nudité ,que je peux faire du lien ,entre :

- mon passage a la jeune France(nu devant un prêtre, puis un second prêtre).a Oran

- et ce 5 juillet 1962 a Oran

(là, ou la" vie-mort" de ne peux avoir du sens).

certes, le monde est absurde....mais, c'est dans cette croix Ethiopienne (cantauque):

que ,le temps d 'un éclair ,d'une trace dans le désert, que la souffrance peut se conjuguer sans parole, dans ce néant ....alors, l'analyse (cette traversée de l'inconscient ) conduit à l'amour infini de Dieu.

c'est ma seule certitude.

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