Que ce n’est ça ni ci. »
O MON AME
SORS, DIEU ENTRE!
Sombre tout mon être n'est autre
en Dieu qui est non-être
sombre en se fleuve sans fond!
Si je te fuis!
Tu viens a moi
Si je me perds,
Toi ,je Te trouve,
O BIEN SURESSENTIEL!
A vrai dire, c'est l'ensemble de ce texte qui CONVERGE et S'ABIME dans cette IMAGE qui est la négation de toute image : ce "merveilleux désert "n'est autre que DIEU lui-même dans l'éternité de son être et son "empreinte" ou sa "trace" dans la figure du temps est le lieu où
il convoque
et
rencontre
l'homme destiné d'emblée à cette nudité des origines.
c'est dans cette nudité ,que je peux faire du lien ,entre :
- mon passage a la jeune France(nu devant un prêtre, puis un second prêtre).a Oran
- et ce 5 juillet 1962 a Oran
(là, ou la" vie-mort" de ne peux avoir du sens).
certes, le monde est absurde....mais, c'est dans cette croix Ethiopienne (cantauque):
que ,le temps d 'un éclair ,d'une trace dans le désert, que la souffrance peut se conjuguer sans parole, dans ce néant ....alors, l'analyse (cette traversée de l'inconscient ) conduit à l'amour infini de Dieu.
c'est ma seule certitude.